Le refus d’incarnation
Qu’est-ce que je fais là ?
Je n’ai goût à rien.
C’est quoi le sens de ma vie ?
Je me sens prisonnière de moi-même.
J’ai tout fait, je n’y arrive pas, c’est trop dur.
Je souffre trop, je veux plus être incarnée.
Pourquoi je ne trouve pas ma place
Je fais tout, mais rien ne fonctionne.
Je reste, je pars ?
Toutes ses phrases sont la conséquence d’un refus d’incarnation.
Le refus d’incarnation vient d’une part de toi qui refuse, rejete l’idée d’être là tant elle a souffert pendant des vies et des vies et même dans cette vie.
Lorsque tu vis ce refus, tu as du mal à être en lien avec ton corps, à te « poser » les deux pieds par terre, car l’incarnation est signe de souffrance.
Tu dis non de façon inconsciente à l’incarnation et donc à la matérialité (matérielle et physique) mais une part de toi veut aller mieux.
Cette souffrance intérieure est dûe à cette dualité en toi.
Tu auras beau te demeurer, rien ne va fonctionner.
Ton âme est en quête de sens, un sens plus profond à ta vie, mais elle se « bute » contre cette réminiscence en toi qui ne veut pas être là.
Ce qui renforce la souffrance et le sentiment de survie permanent.
Être là, pas là… tout est souffrance.
Tu réactives les souffrances du passé et donc le refus : c’est un cercle vicieux.
Pour aller mieux il est alors important de libérer les mémoires de souffrances/violences qui ont entraîné ce refus.
Pour enfin accepter d’être là ! Et vivre cette incarnation avec tous les possibles.
Il en va de même pour ton enfant intérieur qui a besoin d’être rassuré et se sentir en sécurité en étant lui-même.
Ainsi, ce refus n’existant plus, tu n’as plus peur de t’incarner.
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