Flamme jumelle : Est ce que cela s’arrête un jour?
Flamme jumelle : est-ce que cela s’arrête un jour ?
Mais de quoi je te parle là ? du lien ? de la souffrance ? des deux !
La souffrance
Dans un parcours de flamme jumelle, est-ce que la souffrance s’arrête un jour ? est-ce que ce parcours devient plus facile au fur et à mesure que je travaille sur moi ?
Car oui ce parcours est difficile car il révèle tes blessures d’âme les plus profondes et révèle donc ta souffrance, celle qui a été ensevelie, niée, rejetée, abandonnée…
Et c’est bien parce que tu souffres que tu vas entamer un travail sur toi pour ne plus souffrir.
J’aimerai te dire un mot sur cette notion de travail sur soi. Dans ton inconscient le travail peut être associé à un dur labeur, ainsi qu’une action qui se commence et se termine un jour. Ton inconscient associe donc ton élévation à un dur labeur qui s’arrêtera un jour… Mais il me semble que l’élévation dure toute la vie, les vies… et peut se faire tout en douceur si l’on change ses croyances liées à la souffrance et au travail sur soi.
La souffrance liée à tes blessures, à ce parcours peut donc être apaisée si déjà la transformation que ce parcours impose peut se faire en douceur.
Le lien
Il ne se rompt jamais ! et impossible de le rompre non plus.
Le lien est donc intemporel ! Il a toujours été là mais tu n’en avais pas conscience, le lien était comme en dormance.
La reconnaissance a entrainé son réveil, son éveil et le tien par la même occasion. (Celui aussi de ta flamme jumelle) mais l’éveil de tes blessures aussi.
Et c’est bien en rapport de cela qu’est lié ta souffrance comme la sienne.
Alors est ce que ce lien est obligé d’être souffrant tout le temps ?
Dois-je souffrir pour être avec ma flamme jumelle ?
Je ne peux te prédire que non assurément car tu le sais ce parcours est tout de même très personnel, en lien avec ton histoire, tes mémoires et de la façon dont tu vas « interagir avec elles ».
Et c’est là alors que tu peux répondre toi-même à cette question.
Mais oui il me semble tout de même que cette souffrance s’arrête un jour, enfin cela se calme….
Car la souffrance est liée à la peur, aux mémoires, aux blessures, à la place que l’on se donne dans ce parcours et la place que l’on donne au lien par rapport à soi.
Tout est question d’équilibre.
Ce parcours est avant tout là pour éveiller le lien à toi-même. Si tu es chaser tu vas trop donner, trop de couple, trop de lien et pas assez de toi.
Si tu es runner tu vas fuir, éviter…
Dans les deux cas il y a de la souffrance.
Ce parcours va donc t’amener à apprendre, oui oui apprendre à interagir avec toi-même et avec les autres, avec justesse tout en te respectant.
Et là il n’y a plus de souffrance, enfin beaucoup moins car tu ne dépends plus de personne, juste de toi même.
Tu apprends à être toi-même, à être relié à ton corps, à tes émotions, à toutes les parties qui te composent et donc à ressentir ce qui est à toi de ce qui ne l’est pas.
Donc oui tout s’apaise en toi et tu es en capacité d’accueillir ces hauts comme ces bas. Ces bas qui avant te plaquaient au sol alors que là aujourd’hui tu apprends/a appris à les accueillir pour les laisser passer.
Tu renforces ta sécurité intérieure, ta foi, ta compassion, la complétude.
Mais…
Mais il peut arriver parfois que la « souffrance » soit remplacé par l’urgence. Non pas que tu n’es pas relié à toi, mais la réunion est tellement souhaitée, tellement inévitable que les deux flammes jumelles n’ont d’autres choix que de se retrouver pour apaiser cette urgence.
Cette urgence, comme un signal d’alarme, une alerte pour ne pas oublier, pour ne pas se défiler, pour rester alignée à ce destin.
Mais là encore de revenir à soi, d’accueillir ce « bas » permet de ne pas investir de trop dans le lien, de rester aligné sur soi et de laisser venir l’autre afin que cette réunion est bien lieu.
Conclusion
Le lien a toujours été là, mais peut être souvent associé à la souffrance (car lié aux blessures).
L’arrêt de la souffrance vient avec la réharmonisation de l’énergie que tu mets dans le lien.
Si tu n’insuffles plus d’énergie à maintenir un lien, à le maintenir à tes cotés tu te fais mal, tu t’oublies.
Mais à force ton corps, ton émotionnel va crier à la souffrance et tu n’auras d’autres choix que l’aller vers toi-même.
Je crois donc que la clé réside là : d’être dans une harmonie entre toi et ce lien. De ne rien entretenir par égo mais juste par amour et toujours être sa priorité.
La foi se développe avec la confiance qui grandit en toi.
Ainsi la souffrance part, car les émotions, le corps, l’âme ! se sentent écoutés, apaisés…
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